Norvège : Le système carcéral envisage de payer des
personnes pour tenir compagnie au terroriste Breivik.
Il est évoqué l’idée de le faire jouer aux échecs
(dépêche AFP du 31/5/2012).
France : La championne d’échecs Marie Sebag a affronté
des détenus de la maison d’arrêt du Val d’Oise.
Et Roger Ferry, vétéran du Club d’échecs de Colombes
anime une activité échecs en maison d’arrêt dans le 92.
Uruguay : le jeu d’échecs est une discipline utilisée
par l’UNESCO dans un programme d’éducation pour les détenus.
Le projet autour du jeu d’échecs, « El ajedrez de las
cárceles », mené à bien en 2007, illustre la nature interdisciplinaire des
programmes mis en place en prison. La structure intégrée du cours comprenait
trois ateliers thématiques autour de la menuiserie (fabrication de
l’échiquier), des TIC (installation d’un jeu d’échecs informatique) et du
journalisme (réalisation d’un reportage sur un tournoi d'échecs), le but étant
de réaliser diverses tâches au moyen du perfectionnement des compétences en alphabétisme
et des compétences pratiques.
USA : la prison du conté de Cook a mis en place un
programme éducatif au moyen du jeu d’échecs.
Avantages, selon les gardiens eux-mêmes : responsabilité,
patience, apprendre ses erreurs, . . .
Prison à Los Angeles (USA) - Échiquier réalisé avec du
papier toilette
Prison du conté de Jefferson (USA) - quartier de haute sécurité - jeu d’échecs
Philippines - Prison de Makati
Voir :